Notre solidarité est précieuse.

On se soutient en toutes circonstances : c’est notre sécurité sociale.

Nos vies sont étroitement liées. On est là si vous trébuchez. Pour elle. Et pour lui aussi. On peut tous s'épanouir, donner à nos rêves un avenir. Et aussi se relever quand tout semble vaciller. C'est notre filet de sécurité pour ceux qui sont sur le point de tomber. On se sent soutenu par lui, par elle, malgré les aléas, les hauts et les bas. Loin du chacun pour soi. Dans un monde incertain, une chose est sûre : ça fonctionne bien.

Jeune ou moins jeune, avec ou sans emploi, malade ou bien portant, notre solidarité est précieuse et le restera longtemps parce qu'on se soutient inconditionnellement, parce que nous sommes bienveillants. C'est notre sécurité sociale. Toujours au bon moment depuis plus de 75 ans.

Les ministres fédéraux lancent la campagne Tree of Trust

Le 22 octobre, les ministres fédéraux Frank Vandenbroucke, Pierre-Yves Dermagne et David Clarinval ont donné le coup d’envoi de la campagne Tree of Trust.

Vous pouvez retrouver l’intégralité de cette présentation en streaming sur YouTube.

Vous avez accès aux discours des ministres sur la page de la campagne Tree of Trust.

La sécurité sociale comme amortisseur en temps de crise

En période de crise, la sécurité sociale est toujours le tampon qui absorbe de nombreux chocs.

Durant la crise du coronavirus, la sécurité sociale joue encore son rôle social :

  • Le système de chômage temporaire pour les ouvriers et les employés a garanti un revenu à 1,3 million de familles ;
  • L'excellente organisation de notre système de santé a garanti la prise en charge de plus de 1,2 million de compatriotes infectés, dont environ 100 000 ont dû être hospitalisés. Une coopération étroite entre toutes les autorités a permis de mener une campagne de dépistage et de vaccination sans précédent.
  • En avril 2020, 32 % (75 000) de tous les employeurs ont bénéficié d'un report de 2,8 milliards des paiements de sécurité sociale jusqu'à la fin de l'année. Une aide à l'emploi de l'ONSS de 554 millions a été accordée aux entreprises ;
  • Grâce au droit passerelle pour les indépendants, 440 000 indépendants, qui ont tout fait pour maintenir leur entreprise à flot en ces temps difficiles, ont reçu une aide de 5,1 milliards.

Je m'appelle Mike Naert. Bjorn Ruytinx et moi sommes les patrons du café Sport, juste en face de la gare de Louvain et à côté de la salle Het Depot.

Le jeudi 12 mars, au soir, il y a eu cette conférence de presse annonçant que tout devait fermer, et donc tout l'horeca, mais aussi tous les magasins, sauf les commerces alimentaires essentiels. Que tout devait fermer le vendredi à minuit. C'était, comment dire ? Un coup de massue. On ne s'y attendait pas du tout. Je crois que ça a été une grosse surprise pour tout le monde : "Ouille, notre café ferme.\" Et nous avons un grand café avec beaucoup de passage. Mais aussi un bon nombre de clients réguliers. Le dernier soir a été une soirée assez intense, ce vendredi 13.

On a su assez vite qu'il y aurait d'importantes mesures de compensation. Surtout pour le personnel. Car l'horeca emploie beaucoup de personnel. Il faut beaucoup de personnel pour faire tourner une cuisine et un bar. Et ça a été le plus important de tout ce processus, le système de chômage temporaire pour cause de COVID. Mais je pense qu'il faut être honnête à ce sujet, les autorités belges nous ont... nous ont très bien soutenus.

Quand on regarde dans nos pays voisins, je pense qu'on peut être heureux. Les trois mesures, le droit passerelle pour les indépendants, le chomage temporaire pour les employés et les mesures ONSS nous ont permis de garder la tête hors de l'eau, et de maintenir notre commerce en vie. Sans ces mesures de soutien, on n'aurait jamais pu survivre. On aurait dû mettre la clé sous la porte.

Sans les mesures corona, nous aurions dû fermer notre affaire

Témoignage de Mike


Pour Mike, patron de café à Louvain, la crise du coronavirus et le confinement ont frappé comme une bombe. Heureusement, l’aide d’État a fait une grande différence. Grâce au droit passerelle pour les travailleurs indépendants, l’aide ONSS et le chômage temporaire, son affaire a pu survivre.

Je m'appelle Mike Naert. Bjorn Ruytinx et moi sommes les patrons du café Sport, juste en face de la gare de Louvain et à côté de la salle Het Depot.

Le jeudi 12 mars, au soir, il y a eu cette conférence de presse annonçant que tout devait fermer, et donc tout l'horeca, mais aussi tous les magasins, sauf les commerces alimentaires essentiels. Que tout devait fermer le vendredi à minuit. C'était, comment dire ? Un coup de massue. On ne s'y attendait pas du tout. Je crois que ça a été une grosse surprise pour tout le monde : "Ouille, notre café ferme.\" Et nous avons un grand café avec beaucoup de passage. Mais aussi un bon nombre de clients réguliers. Le dernier soir a été une soirée assez intense, ce vendredi 13.

On a su assez vite qu'il y aurait d'importantes mesures de compensation. Surtout pour le personnel. Car l'horeca emploie beaucoup de personnel. Il faut beaucoup de personnel pour faire tourner une cuisine et un bar. Et ça a été le plus important de tout ce processus, le système de chômage temporaire pour cause de COVID. Mais je pense qu'il faut être honnête à ce sujet, les autorités belges nous ont... nous ont très bien soutenus.

Quand on regarde dans nos pays voisins, je pense qu'on peut être heureux. Les trois mesures, le droit passerelle pour les indépendants, le chomage temporaire pour les employés et les mesures ONSS nous ont permis de garder la tête hors de l'eau, et de maintenir notre commerce en vie. Sans ces mesures de soutien, on n'aurait jamais pu survivre. On aurait dû mettre la clé sous la porte.

La sécurité sociale, notre filet de sécurité face aux aléas de la vie

Tout le monde n’a pas la chance d’être en bonne santé, de disposer d’un revenu décent, de vivre dans un logement agréable, d’avoir de bons résultats scolaires, etc. Les occasions d’emploi manquées, la maladie, la faillite ou le divorce sont autant de facteurs qui peuvent avoir des conséquences graves.

Face aux aléas, la sécurité sociale accompagne les millions de Belges qui en ont besoin, à chaque étape de leur vie : chômage, naissance(s), maladies, accidents du travail et de la vie privée, vacances annuelles, pension… et bien plus encore. Personne n’est laissé sur le bord de la route.

“ Le principe de solidarité nous permet de passer du temps avec nos enfants ”

Témoignage d’Anna

Je m'appelle Anna, j'ai 35 ans. En ce moment, je suis Project Officer. Avant, je jouais au handbal en Italie et en Allemagne. Je suis enceinte de notre troisième enfant. J'ai un fils de 4 ans et une fille de 2 ans. Un bébé, c'est beaucoup de boulot. Il faut lui donner beaucoup d'amour, car cette sécurité est primordiale au début. Il doit savoir que papa et maman sont là pour lui. Il a besoin de nous. Pour cet enfant, je reste 3 mois à la maison. C'est le congé de maternité, tout le monde y a droit. Après, je prends un mois de congé parental en plus. Le congé de maternité est important car il permet de se détendre. Vous avez déjà un enfant, il avait toute l'attention et soudain le bébé arrive et il doit partager son papa et sa maman. Je trouve très beau le principe de solidarité. Il est important qu'on puisse passer du temps avec nos enfants. Si vous avez la possibilité de rester plus longtemps à la maison, je vous conseille vivement de le faire.

Je m'appelle Nicole Verstraeten, j'ai quasi 68 ans et j'ai passé presque toute ma carrière à la SNCB. Ça n'a pas toujours été facile. Je me suis retrouvée assez jeune seule avec deux enfants. Ce n'était pas facile, il a fallu trouver des solutions. J'ai une fois pris trois mois de congé pour raisons impérieuses car ma fille avait des problèmes à l'école et je voulais l'aider. Ça a bien fonctionné. À la toute fin de ma carrière, c'était aussi difficile, car ma mère souffrait de démence et avait besoin de soutien. Dès que j'avais fini de travailler, je me hâtais jusque chez elle car avec sa démence, elle devait être suivie de près.

Être pensionnée, c'est pour moi un sentiment de liberté. Je trouve ça génial. Je suis une pensionnée heureuse. Je parle souvent avec quelques bonnes amies, on visite une exposition, on va manger ensemble. On le fait souvent. Et puis, il y a mes petits-enfants. Ils sont très chouettes. Surtout le plus jeune, qui n'a que 10 ans. Je m'occupe de lui de temps en temps, il vient parfois loger. Je trouve que mes plus grands petits-enfants, qui ont 18 et 20 ans, je ne les ai pas assez vu quand je travaillais. Quand j'ai arrêté de travailler, ils étaient déjà adolescents, ils avaient déjà leur vie. Quoique, ma petite-fille étudie à Bruges, où je vis, elle vient souvent dormir chez moi. C'est vraiment très chouette.

Ces temps-ci, la solidarité est plus qu'importante. Je suis heureuse que les choses se passent bien pour nous et que chacun est pris en charge. Je suis heureuse. Je vais bien. Il faut que les autres aillent bien aussi. Même ceux qui croisent la malchance dans leur vie, ceux qui n'ont pas d'emploi ou qui ne vont pas aussi bien que moi. Il faut s'occuper d'eux. On ne peut être heureux que si les autres le sont aussi.

Je m'appelle Bregt, je suis maman d'une fille de 16 ans souffrant de plusieurs troubles mentaux et physiques. Je trouve que la Belgique prend énormément soin des personnes dans le besoin ou porteuses de handicap grâce aux systèmes : allocations familiales supplémentaires, de remplacement de revenu, prestations, aides. Pour qu'ils soient intégrés à la société, ils sont pris en charge, ils ne sont pas laissés à eux-mêmes. On aura l'allocation de remplacement de revenu quand Imke aura 21 ans. Nous touchons les allocations familiales supplémentaires pour son handicap, mais elles s'arrêtent à ses 21 ans. On ne toucherait plus rien. Elle ne peut pas aller à la mutuelle car elle n'y a pas droit : elle n'a pas étudié et ne peut pas travailler. La sécurité sociale à alors mis en place l'allocation de remplacement de revenu. Je trouve ça bien, autrement, elle serait dépendante de la bonne volonté des autres si moi ou son père n'était plus là.

Le principe de solidarité en Belgique est un beau système, et un système rassurant. Je paie volontiers mes impôts, car je sais qu'ils seront utilisés à bon escient. Sans cela, on aurait des situations comme en Amérique où l'aide est moins présente. Là-bas, les rares privilégiés peuvent se permettre certaines choses et les autres vivent sur le fil. Alors je me dis qu'ici tout est possible. J'espère que ça le restera longtemps.

Bonjour, je m'appelle Kylian, j'ai 13 ans et je suis en première secondaire.

Moi je m'appelle Stella, je suis la maman de Kylian.

C'était un mercredi, j'avais match. On a commencé à jouer et à partir de la deuxième mi-temps, on m'a taclé et je suis mal tombé sur mon bras.

Le docteur qui devait normalement le recevoir était très occupé avec la situation actuelle du Covid. À la place, on a vu le médecin urgentiste. Il a regardé, ils lui ont fait une petite radio vite fait, ils ont vu qu'il y avait une fracture, mais il devait être reçu par un docteur. Le lundi, on est retournés à l'hôpital. On a été reçus par le médecin, on lui a passé les scanners, les autres radios. Ils ont eu la conclusion que c'était bel et bien une fracture. Étant donné qu'il est encore jeune, les enfants se régénèrent très vite. On lui a mis le plâtre et ils nous ont dit que ça devrait aller. Suite à tout ça, par rapport à la radio et tout le reste, nous avons une bonne mutuelle, donc ça ne nous a coûté que environ 300 euros, pas plus que ça. Il reste des consultations, qui vont être remboursées entre temps aussi. Je pense que ce système aide chacun de nous. Toute la population est à égalité par rapport aux soins. La solidarité fait que nous puissions tous avoir accès aux soins médicaux.

Je suis Emmanuel, je travaille dans une boulangerie à Anvers, j'ai 35 ans et je vis seul pour le moment. J'ai perdu mon emploi en mars 2020. La corona est arrivée et les restaurants et cafés ont dû fermer. Je ne peux pas dire que le confinement a été difficile pour moi car j'ai reçu une allocation pour remplacer mon salaire. C'était un peu moins, mais rien n'était ouvert donc je n'allais pas au ciné ou boire un verre. Je m'en suis donc bien sorti.

La première semaine, on ne savait pas quoi faire, mais après, on a vu qu'il suffisait de remplir un document sur internet. Cinq jours après ma demande, j'avais déjà une réponse. Si je ne l'avais pas eu, j'aurais eu de graves problèmes. Cette allocation m'a beaucoup aidé. Maintenant que tout est à nouveau fermé, certains collègues sont à nouveau au chômage technique. Je me pose alors la question : que va-t-il m'arriver demain ? Aujourd'hui c'est moi, demain un autre. Après-demain encore un autre. On a besoin les uns des autres pour bien vivre.

“ On ne peut être heureux que si les autres le sont aussi ”

Témoignage de Nicole

Je m'appelle Nicole Verstraeten, j'ai quasi 68 ans et j'ai passé presque toute ma carrière à la SNCB. Ça n'a pas toujours été facile. Je me suis retrouvée assez jeune seule avec deux enfants. Ce n'était pas facile, il a fallu trouver des solutions. J'ai une fois pris trois mois de congé pour raisons impérieuses car ma fille avait des problèmes à l'école et je voulais l'aider. Ça a bien fonctionné. À la toute fin de ma carrière, c'était aussi difficile, car ma mère souffrait de démence et avait besoin de soutien. Dès que j'avais fini de travailler, je me hâtais jusque chez elle car avec sa démence, elle devait être suivie de près.

Être pensionnée, c'est pour moi un sentiment de liberté. Je trouve ça génial. Je suis une pensionnée heureuse. Je parle souvent avec quelques bonnes amies, on visite une exposition, on va manger ensemble. On le fait souvent. Et puis, il y a mes petits-enfants. Ils sont très chouettes. Surtout le plus jeune, qui n'a que 10 ans. Je m'occupe de lui de temps en temps, il vient parfois loger. Je trouve que mes plus grands petits-enfants, qui ont 18 et 20 ans, je ne les ai pas assez vu quand je travaillais. Quand j'ai arrêté de travailler, ils étaient déjà adolescents, ils avaient déjà leur vie. Quoique, ma petite-fille étudie à Bruges, où je vis, elle vient souvent dormir chez moi. C'est vraiment très chouette.

Ces temps-ci, la solidarité est plus qu'importante. Je suis heureuse que les choses se passent bien pour nous et que chacun est pris en charge. Je suis heureuse. Je vais bien. Il faut que les autres aillent bien aussi. Même ceux qui croisent la malchance dans leur vie, ceux qui n'ont pas d'emploi ou qui ne vont pas aussi bien que moi. Il faut s'occuper d'eux. On ne peut être heureux que si les autres le sont aussi.

“ Le principe de solidarité est un système rassurant ”

Témoignage de Bregt

Je m'appelle Bregt, je suis maman d'une fille de 16 ans souffrant de plusieurs troubles mentaux et physiques. Je trouve que la Belgique prend énormément soin des personnes dans le besoin ou porteuses de handicap grâce aux systèmes : allocations familiales supplémentaires, de remplacement de revenu, prestations, aides. Pour qu'ils soient intégrés à la société, ils sont pris en charge, ils ne sont pas laissés à eux-mêmes. On aura l'allocation de remplacement de revenu quand Imke aura 21 ans. Nous touchons les allocations familiales supplémentaires pour son handicap, mais elles s'arrêtent à ses 21 ans. On ne toucherait plus rien. Elle ne peut pas aller à la mutuelle car elle n'y a pas droit : elle n'a pas étudié et ne peut pas travailler. La sécurité sociale à alors mis en place l'allocation de remplacement de revenu. Je trouve ça bien, autrement, elle serait dépendante de la bonne volonté des autres si moi ou son père n'était plus là.

Le principe de solidarité en Belgique est un beau système, et un système rassurant. Je paie volontiers mes impôts, car je sais qu'ils seront utilisés à bon escient. Sans cela, on aurait des situations comme en Amérique où l'aide est moins présente. Là-bas, les rares privilégiés peuvent se permettre certaines choses et les autres vivent sur le fil. Alors je me dis qu'ici tout est possible. J'espère que ça le restera longtemps.

“ Ce système aide chacun de nous à être à égalité par rapport aux soins ”

Témoignage de Kylian et Stella

Bonjour, je m'appelle Kylian, j'ai 13 ans et je suis en première secondaire.

Moi je m'appelle Stella, je suis la maman de Kylian.

C'était un mercredi, j'avais match. On a commencé à jouer et à partir de la deuxième mi-temps, on m'a taclé et je suis mal tombé sur mon bras.

Le docteur qui devait normalement le recevoir était très occupé avec la situation actuelle du Covid. À la place, on a vu le médecin urgentiste. Il a regardé, ils lui ont fait une petite radio vite fait, ils ont vu qu'il y avait une fracture, mais il devait être reçu par un docteur. Le lundi, on est retournés à l'hôpital. On a été reçus par le médecin, on lui a passé les scanners, les autres radios. Ils ont eu la conclusion que c'était bel et bien une fracture. Étant donné qu'il est encore jeune, les enfants se régénèrent très vite. On lui a mis le plâtre et ils nous ont dit que ça devrait aller. Suite à tout ça, par rapport à la radio et tout le reste, nous avons une bonne mutuelle, donc ça ne nous a coûté que environ 300 euros, pas plus que ça. Il reste des consultations, qui vont être remboursées entre temps aussi. Je pense que ce système aide chacun de nous. Toute la population est à égalité par rapport aux soins. La solidarité fait que nous puissions tous avoir accès aux soins médicaux.

“ Nous avons besoin les uns des autres pour vivre bien “

Témoignage d’Emmanuel

Je suis Emmanuel, je travaille dans une boulangerie à Anvers, j'ai 35 ans et je vis seul pour le moment. J'ai perdu mon emploi en mars 2020. La corona est arrivée et les restaurants et cafés ont dû fermer. Je ne peux pas dire que le confinement a été difficile pour moi car j'ai reçu une allocation pour remplacer mon salaire. C'était un peu moins, mais rien n'était ouvert donc je n'allais pas au ciné ou boire un verre. Je m'en suis donc bien sorti.

La première semaine, on ne savait pas quoi faire, mais après, on a vu qu'il suffisait de remplir un document sur internet. Cinq jours après ma demande, j'avais déjà une réponse. Si je ne l'avais pas eu, j'aurais eu de graves problèmes. Cette allocation m'a beaucoup aidé. Maintenant que tout est à nouveau fermé, certains collègues sont à nouveau au chômage technique. Je me pose alors la question : que va-t-il m'arriver demain ? Aujourd'hui c'est moi, demain un autre. Après-demain encore un autre. On a besoin les uns des autres pour bien vivre.

Comment fonctionne la sécurité sociale ?

Nous y contribuons tous. L’argent qui alimente notre système de sécurité sociale provient en majeure partie d’un prélèvement sur les salaires : les cotisations sociales. Ce prélèvement est payé en partie par le travailleur, en partie par l’employeur, sans oublier l’intervention substantielle de l’État.

Tout notre système de sécurité sociale repose sur le principe de la solidarité. Les employeurs paient pour leurs travailleurs. Les travailleurs paient pour les malades ou les pensionnés. Les riches paient pour les moins riches. Tout le monde contribue, afin que personne ne reste sur le carreau.

La sécurité sociale, c’est l’affaire de tous ! La sécurité sociale est ainsi gérée de manière « paritaire ». Des représentants patronaux et syndicaux se concertent à propos de la politique à mener. Souvent, les indemnités ou allocations auxquelles vous avez droit ne sont pas payées directement par l’État. C’est votre mutualité qui paie vos indemnités de maladie et d’invalidité, par exemple.

Je m'appelle Stefan Ifrim, je suis le fondateur et le manager d'une agence de Growth Hacking basée à Bruxelles. Actuellement, j'ai 4 employés. L'objectif de la Sécurité sociale, c'est, je pense, de donner un maximum d'accès ou en tout cas d'enlever les barrières d'accès aux soins de santé à la population. Nos employés ont bénéficié de manière fréquente des services sociaux que ce soit pour des naissances, que ce soit pour des vacances, que ce soit pour des formations, que ce soit pour plein de possibilités offertes par la Sécurité sociale.

Je me suis rendu compte qu'en Europe, on oublie que c'est un droit et que tout le monde y a droit, peu importe sa situation sociale, peu importe sa situation financière. On a toujours accès aux soins de santé. C'est un énorme avantage qu'on n'a pas dans d'autres pays. En ce qui concerne la Sécurité sociale, on sait que ça concerne la santé et le bien-être de nos employeurs et le nôtre aussi, d'ailleurs. Il y a un énorme avantage à le faire. Je suis fier de pouvoir le faire et de participer et être solidaire avec le reste de la société sur cette partie-là. On ne peut pas avoir une société avancée si on ne se soutient pas les uns les autres. C'est important que tout le monde soit conscient les uns des autres, que tout le monde aide les uns les autres, et que chacun puisse participer à sa manière. On a besoin de cette solidarité, sinon on n'oserait pas sortir de chez soi.

“ Je suis fier de pouvoir participer et d’être solidaire “

Témoignage de Stefan


Stefan est entrepreneur à Bruxelles. Ses 4 employés bénéficient des aides de la sécurité sociale lorsqu’ils en ont besoin, et il perçoit très nettement l’impact de sa participation au système, fondé sur le principe de solidarité.

Je m'appelle Stefan Ifrim, je suis le fondateur et le manager d'une agence de Growth Hacking basée à Bruxelles. Actuellement, j'ai 4 employés. L'objectif de la Sécurité sociale, c'est, je pense, de donner un maximum d'accès ou en tout cas d'enlever les barrières d'accès aux soins de santé à la population. Nos employés ont bénéficié de manière fréquente des services sociaux que ce soit pour des naissances, que ce soit pour des vacances, que ce soit pour des formations, que ce soit pour plein de possibilités offertes par la Sécurité sociale.

Je me suis rendu compte qu'en Europe, on oublie que c'est un droit et que tout le monde y a droit, peu importe sa situation sociale, peu importe sa situation financière. On a toujours accès aux soins de santé. C'est un énorme avantage qu'on n'a pas dans d'autres pays. En ce qui concerne la Sécurité sociale, on sait que ça concerne la santé et le bien-être de nos employeurs et le nôtre aussi, d'ailleurs. Il y a un énorme avantage à le faire. Je suis fier de pouvoir le faire et de participer et être solidaire avec le reste de la société sur cette partie-là. On ne peut pas avoir une société avancée si on ne se soutient pas les uns les autres. C'est important que tout le monde soit conscient les uns des autres, que tout le monde aide les uns les autres, et que chacun puisse participer à sa manière. On a besoin de cette solidarité, sinon on n'oserait pas sortir de chez soi.

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